Une lettre ouverte aux peuples du monde

Les sept dernières plaies. Partie 2.

        Dans notre article précédent, nous avons vu que lorsque Dieu envoyait des fléaux sur d’autres nations, c’était parce que ces nations se battaient contre Dieu et cherchaient à détruire Son peuple, les Israélites. Dieu n’avait d’autre choix que de protéger Son peuple.

        Ces dévastations étaient destinées à être la “voix” de Dieu disant à toutes les nations que Lui seul est le Dieu de l’univers entier et qu’il n’y en a pas d’autre. Lui seul doit être adoré par toute la terre. Toutes les nations de l’époque étaient des animistes qui adoraient la nature et pratiquaient des sacrifices grotesques pour satisfaire leurs faux dieux. La destruction de la nation animiste d’Égypte, révélant le seul vrai Dieu, a été connue loin à la ronde parmi les nations de la terre et certains ont reconnu que le Dieu d’Israël était le seul vrai Dieu. Lorsque le peuple d’Israël, sous la direction de Josué, a envoyé des espions à Jéricho avant de détruire cette puissante ville, les espions se sont cachés dans la maison d’une prostituée qui leur a raconté que tout Jéricho avait très peur des Hébreux parce qu’ils avaient entendu parler de l’énorme destruction que le Dieu d’Israël avait déclenchée sur les puissants Égyptiens. Les habitants de Jéricho ont reconnu que “l’Éternel, votre Dieu, est Dieu en haut dans les cieux et en bas sur la terre”. Lisez l’histoire dans Josué 2. 6-11. 

        Le but de Dieu n’a jamais été de détruire l’humanité ; son désir est toujours de ramener les gens à Lui comme le seul être qui mérite d’être adoré et loué, et le seul qui peut effacer leurs péchés et leur rébellion envers Lui.  Nous lisons dans Esaïe 45. 22 “Regardez vers moi, et soyez sauvés, toutes les extrémités de la terre ; car Je suis Dieu, et il n’y en a pas d’autre.” Par conséquent, nous pouvons dire que la punition de Dieu envers les nations est parce qu’elles ont cherché à Le retirer de la société et à vivre comme elles le souhaitaient et ont cherché à interdire à Son peuple de communiquer la bonne nouvelle de la restauration et de la rédemption. Avant que Dieu ne détruise la première terre par un déluge global, le verdict était : “la terre aussi était corrompue devant Dieu, et la terre était remplie de violence. Dieu regarda la terre, et voici qu’elle était corrompue, car toute chair avait corrompu Sa voie sur la terre.” Gen. 6. 11, 12.

        En lisant les commentaires ci-dessus, nous nous posons la question suivante : Dieu avait-il déjà déterminé ce qui était ou n’était pas un style de vie acceptable ? La réponse est bien sûr oui, en effet. Dans Genèse 2. 16, 17, nous lisons que Dieu a dit à Adam (et Eve) qu’ils étaient dans l’obligation de ne pas manger d’un certain arbre, sinon, ils devraient mourir. Dans Genèse 2. 1-3, nous lisons qu’il a été dit à Adam et Ève que le septième jour était un signe de la création de Dieu et qu’Il a béni ce jour et l’a sanctifié, le mettant à part pour un usage saint tel que le culte. Nous lisons dans Genèse 16. 28 que Dieu a réprimandé le peuple d’Israël pour avoir enfreint Ses commandements et Ses lois, ce qui indique que le peuple connaissait déjà les commandements et les lois donnés par Dieu ; un témoignage de cela se trouve dans Genèse 26. 5, Dieu dit d’Abraham qu’il a obéi à Sa voix et gardé Ses ordres, Ses commandements, Ses statuts et Ses lois. L’intervalle de temps entre Abraham et Moïse est d’environ 245 ans.

        La destruction de la terre par le déluge global, par conséquent, était précisément due au rejet de ces lois et commandements. Si quelqu’un a le moindre doute à ce sujet, il lui suffit de lire Romains 1. 18-32 et Jude 1. 14-16, qui nous donnent un aperçu de la méchanceté des hommes avant et après le déluge. Ces deux références ci-dessus se synchronisent parfaitement avec Gen. 6. 1-32 où Dieu explique clairement à Noé qu’Il détruira la première terre en raison de l’intensité de la violence, du mal et du rejet de Dieu.

        Comme l’a dit Churchill, “ceux qui n’apprennent pas de l’histoire sont condamnés à la répéter”.[i]  C’est une triste réalité : nous nous retrouverons en effet à répéter les erreurs et les actions du passé lorsque nous n’avons pas réussi à rappeler à la mémoire ces actes pernicieux de l’histoire. Cela signifie donc que dans ce monde actuel, la société humaine suit les pas des générations méchantes qui ont apporté le malheur, la tristesse et la destruction globale. Sodome et Gomorrhe ont été détruites parce qu’elles ont rejeté les commandements de Dieu ; en fait, la conversation de Dieu avec Abraham a révélé qu’il n’y avait même pas dix individus dans ces villes qui obéissaient aux commandements de Dieu, Gen. 18. 24-32. Même le Seigneur Jésus a dit que, comme il en était aux jours de Noé et de Lot, il en sera de même aux jours précédant le retour du Fils de l’homme, Luc 17. 26, 28-30.

        Revenons maintenant aux sept derniers fléaux que Dieu fera tomber sur cette terre juste avant le retour de Jésus. Ayant vu que Dieu envoie des fléaux et la destruction sur les gens pour préserver la vie de Ses disciples innocents, et pour préserver la justice sur la terre, pouvons-nous voir une justification pour une destruction divine et globale de notre monde aujourd’hui par ces sept derniers fléaux ? Oui, nous le pouvons. Dans Apocalypse 13. 11-17, nous lisons qu’un certain gouvernement (que nous savons être les États-Unis, les USA) va promouvoir l’Église catholique romaine, autrefois puissante, dans notre monde d’aujourd’hui, la rendant aussi puissante qu’elle l’était au Moyen Âge. Ces États-Unis tromperont par des miracles (ils feront descendre du feu du ciel à la vue des hommes) les peuples de la terre en les forçant à adorer le dimanche (appelé l’image de la bête) comme le dicte la religion unie dirigée par le Vatican, et ceux qui refuseront de le faire seront persécutés et finalement tués (Apocalypse 13. 15-17).

        De nombreux érudits bibliques reconnaissent que la désignation de recevoir une marque “dans leur main droite ou sur leur front” signifie simplement se conformer à cette loi du dimanche, soit parce qu’ils souhaitent obéir à la loi même s’ils ne sont pas d’accord avec elle, soit parce qu’ils sont entièrement d’accord avec elle, c’est-à-dire que tout le monde devrait accepter pleinement l’observation du dimanche comme un droit de l’homme sans poser de question.  Ce sera le “mantra” du Vatican, et la terre entière sera d’accord avec cela, à l’exception d’un groupe indépendant qui croit que la Bible seule devrait déterminer qui, quand et comment l’humanité devrait adorer et que cela devrait être un choix entièrement libre de chaque individu. Et pour ce qui est de choisir un jour de culte, ce jour est déjà donné à l’humanité par Dieu. Et ce jour de culte est un mémorial de la création, c’est le septième jour, le samedi. Lisez-le dans Gen. 2. 1-3.

        Apocalypse 13. 18 continue en expliquant que cette “marque de la bête” représente le nombre de la bête et que ce nombre de la bête est 666. Dans la Rome antique, dont la langue était le latin, les personnes, les dates et les titres, se voyaient souvent attribuer une valeur numérique en fonction des lettres de leur nom ou de leur titre. Le pape, par exemple, avait et a toujours de nombreux titres et l’un d’eux était “Vicarious Filii Dei”, ce qui signifie “Vicaire (représentant) du Fils de Dieu”.[ii],[iii]  Si l’on ajoute une valeur numérique à chaque lettre de ce titre (comme l’ont fait les réformateurs de la Réforme protestante), on obtient la valeur numérique 666. Pour une meilleure compréhension de ce phénomène, veuillez lire mon article intitulé La papauté et 666.[iv]  Maintenant, puisque les États-Unis et les religions unies sous la direction du Vatican vont, sous peine de persécution et de mort, forcer le monde à rendre hommage à leur forme de culte, que doit faire Dieu pour préserver Son peuple ?

        Cette question a reçu une réponse dans Apocalypse 14. 9-10 ; Apocalypse 15. 1-8 ; Apocalypse 16 et Apocalypse 17, et Apocalypse 18. 1-6. Tout comme sous le régime du Covid-19, les gouvernements ont proposé de persécuter sévèrement les personnes non vaccinées et celles qui ne suivaient pas leur “récit” faux et non scientifique, Dieu utilisera Ses armements naturels pour détruire les méchants et préserver son peuple. Les rôles seront inversés et les innocents survivront. Dans les textes ci-dessus, nous voyons Dieu, le Créateur du ciel et de la terre, implorer l’humanité de revenir à Lui avant qu’il ne soit trop tard et de se convertir afin d’hériter du nouveau système qu’Il établira sur la terre pour tous les justes (Apocalypse 21. 1-8).

        Les fléaux seront donc la dernière intervention de Dieu en faveur de son peuple. La probation humaine sera close. Il n’y aura plus que deux classes de personnes vivant à cette époque, celles qui rejettent Dieu et suivent les lois des hommes et celles qui obéissent à Dieu et suivent ses commandements. Apocalypse 14. 12 le résume ainsi : “Voici la patience (persévérance) des saints, voici ceux qui gardent les commandements de Dieu et qui ont la foi de Jésus.” Apocalypse 12. 17 le dit encore plus succinctement : “Et le dragon (satan) fut irrité contre la femme (qui représente l’Église de Dieu) et alla faire la guerre au reste de sa postérité qui garde les commandements de Dieu et qui a le témoignage de Jésus.”

        Les personnes qui rejettent l’amour, la miséricorde et le pardon de Dieu seront malheureusement détruites et le péché et l’iniquité ne pourront plus jamais se manifester dans tout l’univers de Dieu. Mes amis, vous ne pouvez pas vous permettre de manquer cela. Dieu nous assure dans Sa parole que “l’œil n’a pas vu, l’oreille n’a pas entendu, et il n’est pas entré dans l’esprit de l’homme, les choses que Dieu a préparées pour ceux qui l’aiment.” Comment ne pas rendre la pareille à ce geste merveilleux de Dieu ? Dans notre prochain article, nous nous intéresserons aux fléaux eux-mêmes.

[i] Winston Churchill in a speech in the British parliament in 1948. It is said that Churchill was paraphrasing George Santayana a Spanish-American philosopher born in 1863. https://www.quora.com/When-did-Churchill-say-those-who-fail-to-learn-from-history-are-doomed-to-repeat-it.

[ii]Edwin de Kock, The Truth About 666, vol. 1 (Pub. By Edwin de Kock, Edinburg, Texas, 78541, 2nd revision, 2013), Acknowledgements, p.6, 51-64

[iii]P. D. Stuart, Codeword Barbelon: danger in the Vatican, (Pub. By Lux-Verbi Books, Enfield Middlesex, UK, ed. 2008), see the index, SV.  vicarious Filii Dei.

[iv] Edwin de Kock, The Truth About 666, vol. 1 (Pub. By Edwin de Kock, Edinburg, Texas, 78541, 2nd revision, 2013).

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Je tiens à remercier gracieusement Sylviane Senty d’avoir pris en charge la traduction de cet article en français. Merci.

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