Sprechen Verboten (interdit de parler). Pouvons-nous avoir confiance en la Bible comme étant la parole de Dieu pour l’humanité ?
Ce fut en 1939 quand les allemands ont envahi la Pologne et la vie d’un jeune polonais-juif, Edward Gastfriend, a changé à tout jamais. Dans les camps de concentration à Auschwitz et Blechhammer, une chose dont le jeune a bien appris, fut la commande, « Sprechen Verboten » (défense de parler). « Le testament de mon père » Le mémoire d’un adolescent juif 1938-1945. Temple University Press (2000). Les massacres (pogroms) des Nazis contre les juifs et autres cultures ont duré approximativement sept ans, tuant environ 12 millions de personnes, et selon les derniers mis-à-jours, on estime 15 à 20 millions de personnes massacrées. C’est la haine pure, un refus d’acheminer des informations appropriées sur des personnes et leurs œuvres littéraires.
Dans ce bulletin et les suivants, nous chercherons à découvrir la vérité sur la Bible ; si réellement elle peut être classifiée comme étant la Parole de Dieu à l’humanité, et du même coup, nous nous pencherons sur les massacres (pogroms) contre les croyants de la Bible et l’attaque violente contre ce livre sacré qui contient environ 1200 pages. Mais, qu’y a-t-il dans le fort intérieur de l’homme qui puisse le conduire à de tels comportements extrêmes ? En examinant ces bulletins, ce genre de comportement sera clairement expliqué.
Alors, comment le peuple ancien de Dieu, et plus tard, les chrétiens ont-ils défini la Bible ? Premièrement, lorsque Moïse eût écrit à ses lecteurs la première partie de la Bible, il écrivit en leur donnant l’impression que Dieu fut parti intégrante de leur vie et qu’il n’y eût pas question de Son existence. Il écrit : « Au commencement Dieu … » (Genèse 1 :1). Il ne s’arrête pas pour expliquer qui est Dieu ou s’il a le droit d’être mentionné. C’est comme si tout le monde connaissait déjà Dieu.
Il est intéressant de noter que les sociétés anciennes ont débuté avec Dieu ou dieu comme un élément permanent, voyageant dans tous les coins et recoins de cette terre parmi les peuples anciens ou lisant leurs traditions, on ne pouvait échapper à cette notion. Ce qui est aussi intéressant, c’est qu’une grande partie de leur croyance semble être une mauvaise interprétation de ce qui est écrit dans la Bible. Par exemple : la Bible déclare que le péché est entré dans notre monde par la désobéissance de l’ordre de Dieu disant de ne pas manger d’un certain arbre appelé « la connaissance du bien et du mal ». Et cela a débuté avec Ève, la femme d’Adam. Désormais, suite à cette décision humaine, Dieu ne fut plus en mesure de communiquer avec l’humanité comme cela eût été auparavant, avant que le péché n’entre sur notre terre. Maintenant, parmi les Shona du peuple bantou de l’Afrique du sud, nous lisons dans leur tradition que Dieu et l’homme vivaient autrefois ensemble, mais une femme, tout en utilisant son mortier pour préparer la nourriture, a poussé Dieu dans les yeux et Il est donc retourné chez lui. Et bien sûr, nous avons les histoires du déluge mondial telles que décrites logiquement et raisonnablement dans la Bible mais, dans les mythes des nations, ces histoires sont représentées de manière fantastiques et illogiques. Alors que nous étudions les croyances des nations, nous constatons clairement une détérioration des concepts qui sont plus logiquement expliqués dans la Bible.
Lorsque nous regardons les concepts bibliques sur les « origines », le « péché » et la « mort », et que nous les comparons avec les fragments des nations de l’humanité, nous constatons en fait, que la Bible est le fil d’or, la clé, la seule pièce du casse-tête qui interprète et apporte une compréhension harmonieuse aux rêveries étiologiques des nations. Des pièces nationales que nous trouvons gravées sur de la poterie, sur du cuir et sur des surfaces rocheuses, essayant de donner un sens à leurs origines, et cherchant les causes du bien et du mal. La structure de leur environnement physique et des producteurs des nombreux artefacts qu’ils rencontrèrent cachés dans la terre. La Bible est, alors, reconnue comme la cheville ouvrière qui dévoile les énigmes et les questions de l’humanité. Hélas! cela est placé dans le collimateur des athées, des agnostiques, des sceptiques, des libéraux et des incroyants. Certains voient cette bataille comme une guerre cosmique entre les forces du bien et du mal. Pourtant, la Bible prédit sans vergogne la victoire du bien, même si ses fidèles se font dire « sprechen verboten » (défense de parler), quand il s’agit de communiquer la Parole de Dieu !
Revenons un peu en arrière et donnons une définition de la « Bible ». À l’époque ancienne avant Christ, la Bible était les Écritures juives et se composait finalement de 24 livres (dont 39 sont calculés selon les chrétiens), divisés en trois sections principales (certains disent 4) : la Torah, ou l’Enseignement , également connu sous le nom de « Cinq Livres de Moïse », ou le Pentateuque (signifiant le chiffre cinq) : ensuite, nous avons les Prophètes ou Nevi’im, troisièmement, les Ketuvim ou les « Écrits ». Dans Luc 24 :44 : Il est cité que Jésus expliqua aux disciples les choses qui étaient écrites à son sujet dans la loi de Moïse, les prophètes et dans les psaumes. Les Écritures juives sont souvent appelées le Tanakh. Ces dernières devinrent plus tard l’Ancien Testament (AT). Les recherches archéologiques modernes montrent que l’AT a commencé à être écrit bien avant le 10e siècle avant J.C. (Clara Moskowitz, Bible éventuellement écrite des siècles plut tôt, texte suggéré, 2010), jusqu’au dernier livre qui eût été écrit au 5ième siècle avant J.C.
Dans les temps anno domini (L’Année du Seigneur) (A.D.- C.E.), il y eut 27 autres livres qui furent ajoutés à l’ancien testament. Ceux-ci furent appelés les écrits du nouveau testament ou N.T. Celui-ci eût été écrit entre 50 à 100 ans après J.C. Ces deux testaments constituent, ce que les chrétiens et l’érudition reconnaissent comme étant la Sainte Bible. Dans l’ancien testament, mis à part les cinq livres de Moïse et quelques autres, les prophètes eurent commencé leurs écrits ou leurs déclarations en disant : « la Parole du Seigneur… » Ainsi, la Sainte Bible est également connue comme la Parole du Seigneur, la Parole de Dieu ou les Écritures. Dans le N.T, Pierre confirme cela quand il eût écrit sous l’inspiration ; qu’aucune prophétie n’est jamais venue par une volonté d’homme, mais les hommes de Dieu, animés par le Saint-Esprit, ont parlé (2 Pierre 1 :21). Les chrétiens croient que le nouveau testament est mieux compris à la lumière de l’ancien testament. Le Messie dont il est mention dans l’ancien testament, s’est réalisé dans le nouveau testament. Nous examinerons certaines de ces prédictions et ses concrétisations dans la vie de Jésus-Christ dans un bulletin ultérieur.
Étonnamment, ces deux testaments eurent été composés sur une période de 1600 ans, débutant même avant le 10ième siècle avant J.C allant au 2ème siècle après J.C. Ces deux parties ont été écrites par une quarantaine d’auteurs dont plusieurs ne furent pas contemporains des uns des autres. Pourtant, il est incroyable de constater l’harmonie et la cohérence entre chacun des 66 livres. Comment est-il possible de produire une telle « bibliothèque » de 66 livres sur une si longue période démontrant une telle cohérence sur l’objectif et le but ? Aucune autre œuvre littéraire ne peut égaler la création de la Bible dans l’histoire de cette terre.
En ce qui concerne l’authenticité de la Bible, elle est bien attestée historiquement et mieux certifiée que tout autre livre, comme nous le verrons plus loin. Personne, aujourd’hui, ne peut nier l’authenticité des Écritures juives. L’histoire des juifs, les découvertes archéologiques de l’existence d’Abraham, de Joseph, d’Isaac sont aussi réelles que l’existence de leurs contemporains et les rois d’Égypte que nous ne contestons pas. Tout comme nous avons les tombes des pharaons en Égypte, nous avons aussi les tombes d’Abraham, de Sarah, d’Isaac, de Jacob et de Joseph en Palestine, encore aujourd’hui. Si nous pouvons croire dans les livres égyptiens concernant les morts dont témoigne l’archéologie, nous pouvons également croire aux Écritures juives dont ils eurent toujours avec eux depuis des temps immémoriaux jusqu’à nos jours.
Quant au nouveau testament, l’intrigue s’épaissit étrangement. Saviez-vous, mes amis, que l’Iliade d’Homère possède le deuxième plus grand nombre de manuscrits qui prouvent son authenticité ? Seuls les ignorants douteraient de l’existence de L’Iliade d’Homère à la lumière des 643 manuscrits existants aujourd’hui. Il n’y a qu’un seul ensemble de livres dont les manuscrits dépassent de loin ceux de l’Iliade ou de tout autre ensemble de livres sur cette planète. Si un ensemble avare de 643 manuscrits peut forcer une personne à croire dans les œuvres d’Homère, qu’en est-il du nouveau testament ? Écrit sur une période de 50 ans seulement, commençant dès 17 ans (certains déclarent même plut tôt) après la mort de Jésus, Celui dont tous ces manuscrits affirment. Maintenant écoutez ceci : le N.T compte plus de 5800 manuscrits grecs, avec un incroyable 2,6 millions de pages du texte biblique. Il y a plus de 8000 manuscrits latins et plus de 9300 autres tels que copte, syriaque, arménien ! Mes amis, aucun autre ensemble de livres sur cette terre n’a une telle quantité écrasante et un tel éventail de manuscrits dans autant de langues différentes témoignant de sa véracité !
Chers lecteurs, si nous pouvons croire à l’existence de l’Égypte ancien qui vivait en même temps que les juifs à cause de leurs manuscrits et de leurs découvertes archéologiques … si nous pouvons croire en L’Iliade d’Homère en raison de ses 643 manuscrits chétifs, pourquoi refusons-nous de croire à l’authenticité de la Bible avec un lourd total de 23000 manuscrits et plus incluant la traduction de plusieurs langues ? Il me semble, mes amis, que Dieu fait tout pour nous montrer qu’Il est réel, que son amour pour l’humanité qui est Sa création, est fort et personnel, et que son désir ardent est de nous pardonner et de nous transformer à Son image ; sans péché ni rébellion. Cela est certain et vrai ! Bientôt, il reviendra sur cette terre pour venir chercher tous ceux-là qui attendent son apparition. Je vous en supplie, amis, de Lui donner l’occasion de transformer votre vie et de vouloir faire de vous un citoyen de l’univers de Dieu, un citoyen de la merveilleuse famille de Dieu.
Mes amis, lorsque nous cherchons à parler aux gens de cette bonne nouvelle trouvée dans la Parole de Dieu, comme par les temps passés, on nous dit souvent, « sprechen verboten » (défense de parler) ! S’il vous plaît, ouvrez vos oreilles et votre cœur à ces mots maintenant tandis que l’occasion se présente, car demain pourrait être trop tard. Mon prochain article sera la continuité de cette étude sur l’authenticité et la fiabilité de la Parole de Dieu.
C’est quelque chose de précieux ou de précis pour préciser plus d’informations, parmi lesquelles je vous contacte à ronhende@outlook.com
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